From Monument to Masses - On Little Known Frequencies
Kylesa - Static Tensions
Kaospilot - Shadows
Three second kiss - long distance
Isis - Wavering radiant
Fennesz - Black sea
Dälek - Gutter Tactics
Ils l'ont dit :
"Je suis devenu un phénomène culturel", a lancé modestement Christian Audigier sur le plateau de Laurent Ruquier.
"Ca veut dire les touristes, on va les embarquer aussi... ? Vu qu'eux ils sont en bande", a lancé un jeune habitant d'une cité du Nord de Paris au micro de Caroline Cartier, pour son Cartier Libre du 22 avril 2009, sur France Inter.
"Ce qui me plairait, c'est l'Intérieur, la Défense ou prendre la tête d'un ministère de l'Education élargi à la famille", a déclaré Nadine Morano, faisant ses voeux pour le prochain remaniement de juin. Brice Hortefeux à Morano: "arrête de demander, tu vois bien que ça ne marche pas".
"La saloperie laisse toujours des traces",a lâché Bernard Kouchner sur le plateau du Grand journal de Canal+, le 7 avril, en parlant de l'affaire des conseils prodigués au gouvernement gabonais.
Il faut "faire attention à ne pas aller de rodomontade en fanfaronnade», a déclaré Laurence Parisot, la présidente du MEDEF au sujet de l'ultimatum posé par l'Elysée concernant la rémunération des dirigeants d'entreprise. Bravo Mme la patronne des patrons, vous avez gagné un prix spécial pour la phrase choc parce qu'elle est creuse et qu'elle ne veut rien dire. Allez, trêve de calembours et de galéjades Mme Parisot, un peu de mordant! Un peu de décence.
"Il faut réactiver la pompe à confiance", a déclaré Alain Juppé dans le JT de 20h de France 2 du 20 mars. Une tâche difficile quand certains n'ont pas arrêté la pompe à fric au mépris de la décence la plus élémentaire (AIG, SocGen, etc.), et quand le gouvernement "reste droit dans ses bottes" notamment sur des sujets comme le bouclier fiscal.
«Entre fusion et confusion, il y a trois lettres… pas forcément les bonnes», a lancé Eric Raoult au sujet de la fusion de Paris et de la petite couronne proposée par l'ex-premier ministre, Edouard Balladur.
Rachida Dati "c'est un symbole de la diversité qui a tout gâché, en allant se brûler les ailes dans les paillettes et les mondanités. Grisée par sa célébrité, ivre de son pouvoir, couverte de parures haute couture de la tête aux pieds," a dit Franz-Olivier Gisbert, le 4 mars 2009 dans son édito politique.
« Le gel c’est une tarte à la crème quand on n’a pas d’idées » a déclaré Christine Boutin au sujet du gel des loyers, dans une interview accordée dans l’édition de Libération daté du 3 mars 2009.
"De la même façon que le pétomane ne fait plus rire personne, Jean-Marie Le Pen ne choque plus personne", a dit Thomas Legrand dans son édito politique sur France Inter, le 10/02. Et il ajoute "un peu comme un vieux poivrot qui insulte les clients au bout du bar, le mieux c'est de ne pas se formaliser et ne pas le regarder. Jean-Marie Le Pen en est là".
"Bayrou est l'homme du passé", a dit Frederic Lefebvre lundi 9/2, lors d'une interview pour le talk Orange-Le Figaro. Pas étonnant de la part du franc-tireur (gratuit), porte-parole de l'UMP.
"Il ne faut pas regarder cette question-là par le petit bout de la lorgnette", a déclaré Christine Boutin sur la main tendue de Benoît XVI aux évêques intégristes. J'avais oublié que cette femme était connue pour son ouverture d'esprit...
"On commence à être de retour",
a lancé Martine Aubry, dimanche 1er février, à la mutualité... Et ben il était temps! Reste à savoir si derrière le "on", elle entend sa moitié ou... sa moitié du PS.
"En démocratie, ce n'est pas celui qui crie le plus fort qui décide",
c'est ce qu'a dit Nicolas S. Mais j'ajouterai que ce n'est pas celui qui s'agite le plus qui le fait le mieux, hein...
"Dans cette crise terrible, il faut d'abord garder son cap et son sang-froid", a déclaré Henri Guaino dans une interview accordée au Figaro.
Oui, alors il faudrait d'abord savoir quel est le cap du sarkozysme qui agite et bouge les choses sans direction. Et puis Nicolas S. est bien connu pour son sang froid... "Casse toi pov' con!".
"Chanter la Marseillaise c'est une honte absolue!"
c'est ce qu'a lancé le chef des députés UMP, Jean-François Copé, après le chahut provoqué par les députés PS lors de la discussion sur la réforme du Parlement et notamment de l'article 13. Que veut-il? Il préfère qu'elle soit sifflée?
"Aréta Franklain" [en phonétique]
C'est la façon dont Marie Drucker a prononcé, en direct, sur France 2, le nom d'Aretha Franklin quand celle-ci a chanté sur la tribune de Washington lors de la cérémonie d'investiture de Barack Obama.
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